Styve Per Plex 6s1k3q
C’est « Au début des années 80 » que j’ai commencé le graffiti à la sauvage. Apposant ma griffe sur les spots les plus prisés des murs de l’école. En effet, encore conspué par l’élite de l’art d’à lors, le prénom de « Maurice » tenait le haut du pavé de la toute dernière nouvelle vague de celui de rue. Partout où il fut possible de l’être. Je découvris que d’autres, manifestement agacé par l’artiste en question, apposaient à notre précurseur de « Maurice » la critique sociale pas même encore jugée à serbe ou acrobate : « on t’encule ». Par la suite, défendu ardemment par d’autres encore, je pus voir fleurir sur les façades rendues ainsi toutes plus décrépites les unes que les autres le fameux : « Maurice on t’aime ».
Ce fut la fulgurance pour moi ! J’inscrivis donc un peu partout sur les murs de la vieille ville en ruines le non moins cultissime : « C’est pas incompatible ». Dès lors, je n’eusse de cesse de défendre l’art participatif. « Attention, Maurice est dans ton dos ». « Morris is partout ». « Morris t’échappe ». « Morris keep ta nuit ». « Maurice te donne tout un tas de p'tit bout d'idées ». « Morris est une île ». « Maurice est relativo-situa-zioniste ». « Morris est une Olive ». « Maurice n'est pas Françoise sans gant ». « Morris est dans ton cul ».
C'est devenu LA référence de l'underground français copié par tous, jamais égalé, parmi mes incommensurables faits d’arme et coups d’éclat, que je graffais la cuvette des WC du Louvre d’un malicieux : « Keaton’s place ». Puis sur la porte lui faisant face, l’inaltérable « Maurre is On The Wall Street - Pink Floyd ». C’est parcourant les rues de Swansea que je taggais le non moins célébré « May ‘68 was not here » sur les Banksy que je chassais aux 4 coins de la ville. Alors que je rugissais à la face du monde durant le tout premier slam contest de l’histoire, « mort-né dans les 88’ » le mouvement que j’avais moi-même déclamé en cette occasion ; j’illustrais le park Morris New-Yorkais des multiples « Racamier » tel des avatars waroliens petit à petit repris partout, et par d’autres, au tour de la planète.
Dès lors, la suite de l’histoire on la connaît. Grand corps malade vous la contera : « Nan c’est pas le slam qu’on teste ; parce qu’un mouvement ça s’arrête ».
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Cote artiste, Biographie, Atelier de l'artiste:
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C’est « Au début des années 80 » que j’ai commencé le graffiti à la sauvage. Apposant ma griffe sur les spots les plus prisés des murs de l’école. En effet, encore conspué par l’élite de l’art d’à lors, le prénom de « Maurice » tenait le haut du pavé de la toute dernière nouvelle vague de celui de rue. Partout où il fut possible de l’être. Je découvris que d’autres, manifestement agacé par l’artiste en question, apposaient à notre précurseur de « Maurice » la critique sociale pas même encore jugée à serbe ou acrobate : « on t’encule ». Par la suite, défendu ardemment par d’autres encore, je pus voir fleurir sur les façades rendues ainsi toutes plus décrépites les unes que les autres le fameux : « Maurice on t’aime ».
Ce fut la fulgurance pour moi ! J’inscrivis donc un peu partout sur les murs de la vieille ville en ruines le non moins cultissime : « C’est pas incompatible ». Dès lors, je n’eusse de cesse de défendre l’art participatif. « Attention, Maurice est dans ton dos ». « Morris is partout ». « Morris t’échappe ». « Morris keep ta nuit ». « Maurice te donne tout un tas de p'tit bout d'idées ». « Morris est une île ». « Maurice est relativo-situa-zioniste ». « Morris est une Olive ». « Maurice n'est pas Françoise sans gant ». « Morris est dans ton cul ».
C'est devenu LA référence de l'underground français copié par tous, jamais égalé, parmi mes incommensurables faits d’arme et coups d’éclat, que je graffais la cuvette des WC du Louvre d’un malicieux : « Keaton’s place ». Puis sur la porte lui faisant face, l’inaltérable « Maurre is On The Wall Street - Pink Floyd ». C’est parcourant les rues de Swansea que je taggais le non moins célébré « May ‘68 was not here » sur les Banksy que je chassais aux 4 coins de la ville. Alors que je rugissais à la face du monde durant le tout premier slam contest de l’histoire, « mort-né dans les 88’ » le mouvement que j’avais moi-même déclamé en cette occasion ; j’illustrais le park Morris New-Yorkais des multiples « Racamier » tel des avatars waroliens petit à petit repris partout, et par d’autres, au tour de la planète.
Dès lors, la suite de l’histoire on la connaît. Grand corps malade vous la contera : « Nan c’est pas le slam qu’on teste ; parce qu’un mouvement ça s’arrête ».
- Nationalité:
- Date de naissance : date inconnue
- Domaines artistiques:
- Groupes: Artistes Contemporains Français